Un rapport, réalisé par le cabinet BIO by Deloitte pour la Commission européenne, montre la nécessité de définir de façon plus claire la REP mais également de fixer des objectifs mesurables en matière de gestion des déchets.
Federec lance une nouvelle branche pour améliorer la représentation des acteurs du recyclage des déchets du BTP. Plusieurs signaux confirment que la France compte (enfin) recycler ces 250 millions de tonnes de déchets.
Rompre le lien entre croissance économique et impacts sur l'environnement dus à la production de déchets. Telle est l'ambition affichée par le nouveau plan national de prévention des déchets.
Ségolène Royal a lancé un appel à projets "territoires zéro gaspillage zéro déchets" le 30 juillet. Il sélectionnera 20 collectivités territoriales volontaires pour "s'engager vers des objectifs ambitieux de prévention des gaspillages et de valorisation des déchets", explique le communiqué. Les volontaires démontreront ainsi "la pertinence (…), la faisabilité et les bénéfices d'un dispositif intégré de diminution des quantités de déchets". La perspective est celle du moyen/long terme.
La réduction de la mise en décharge fait consensus. Mais la promotion de la valorisation énergétique ne se fait-elle pas sur le dos du réemploi et du recyclage ?
Les propositions du paquet Economie circulaire de la Commission européenne, adopté le 2 juillet, visent principalement la réutilisation des déchets comme des ressources et de ce fait une économie de 600 millions d'euros pour les entreprises.
Le cahier des charges pour les DEEE, mis en consultation le 1er juillet, prévoit de donner un bonus aux produits réparables ou à ceux dont la fin de vie est moins impactante, et un malus aux produits dont l'obsolescence a été programmée.
Les propositions de la Commission européenne pour convertir l'Europe à une économie plus circulaire et promouvoir le recyclage dans les États membres.